Agarwood

Pour cet article sur les matières premières, je me suis fait aider. Je reprends en bonne partie et je synthétise des recherches réalisées par Le_Fou_du_Roi, sur Beauté-test, car ces infos me semblent fort précieuses. Merci à lui de m’avoir autorisée à reproduire ces recherches.

(et, je vous préviens : c’est un pavé 😉 )

Le terme « OUD »

Le terme «Oud», noté également «Oudh», «Aoud», désigne l’Agarwood, mais également des produits mélangés, que ce soit des reconstitutions d’agarwood ou des compositions parfumées, principalement dans les pays arabes et l’Inde.

Ce terme manque de précision, engendrant des confusions, puisqu’il peut désigner aussi bien un mélange oriental traditionnel que tout à fait moderne, incluant même des matières de synthèse, et bien plus rarement l’agarwood, si rare et si cher. Il faut donc s’en méfier et ne pas trop croire les annonces ventant les authentiques «Ouds d’orient».

Au niveau fragrance c’est pareil, il y a autant d’ouds différents que de fabricants.

Le véritable agarwood, extrait de certains arbres, est sujet lui aussi a de grandes différences de senteurs, suivant l’espèce ou la variété exacte, le lieu et les conditions dans lesquels les arbres ont poussé. Il n’a pas une senteur particulièrement plaisante, à la façon du musc ou de la civette, et bien qu’il fasse merveille dans certaines compositions, il ne peut pas être utilisé seul comme parfum. Ainsi, les produits parfumés vendus comme «Oud» sont des compositions et non du pur agarwood.

L’oud vendu comme matière, dans un support huileux, n’est pratiquement jamais du véritable agarwood ou n’en contient qu’un faible pourcentage.

Pour les parfumeurs et les parfums de niche, c’est bien le terme agarwood qui fait référence, mais là encore il est très difficile à trouver, et encore plus difficile d’être certain de sa qualité.

En résumer il faut bien faire la distinction entre «Oud», terme général désignant un peu n’importe quoi, et «agarwood», matière de parfumerie.

L’AGARWOOD

L’Agarwood provient d’une résine qui est sécrétée en réaction à diverses agressions de certains arbres, et principalement due à un champignon. Ainsi il faut bien comprendre que les arbres sains n’ont pas d’odeur particulière.

Hors noms scientifiques, il devrait y avoir, suivant les pays, des noms pour les arbres sains, c’est à dire non «infectés», des noms pour le bois infecté imprégné de résine, des noms pour la résine elle-même (brute et complète) et des noms pour l’extrait tiré du bois (généralement une huile essentielle) Mais la confusion est totale et un seul nom désigne souvent aussi bien l’arbre sain, le bois imprégné, la résine et l’huile essentielle. Les noms sont très nombreux en raison des pays qui produisent et utilisent cette matière, et aussi des différentes variétés concernées. Il existe cependant quelques noms spécifiques pour la résine.

En parfumerie, évidemment on parle de l’extrait et il est nommé Agarwood en Anglais, ce terme étant repris en Français régulièrement à la place de «Bois d’Agar» sans doute pour éviter un mot composé et pour faciliter les textes au niveau international. Dans un premier temps j’utiliserai donc ce terme pour désigner le bois imprégné, la résine et l’extrait. Je ne l’utiliserai pas pour désigner les arbres sains afin que les textes soient clairs.

Arbres concernés :

Les arbres produisant l’agarwood font partie de la famille des Thyméléacées (Thymelaeaceae) Suivant la Classification Classique, cette famille fait partie de l’ordre des Myrtales. Suivant la Classification Phylogénétique, cette famille fait partie de l’ordre des Malvales. Ces deux ordres se trouvent dans les deux Classifications.

Selon Dalwitz & Watson, il est fait une distinction entre la famille des Thyméléacées, la famille des Aquilariacées (Aquilariaceae) et la famille des Gonystylacées (Gonystylaceae). Mais les familles spécifiques des Aquilariacées et des Gonystylacées ne sont pas acceptées par la plupart des Classifications. La classification classique et la classification phylogénétique incorporent les plantes de ces familles spécifiques dans celle des Thyméléacées.

Ces familles regroupent un grand nombre de genres, mais tous ne produisent pas de l’agarwood. C’est principalement le genre Aquilaria qui produit l’agarwood, mais il n’est pas le seul. Le genre Gyrinops est aussi concerné, et de manière moindre d’autres genres, dont Aetoxylon, Gonystylus, Phaleria et peut-être Enkléia et Wikstroemia.

Les genres les plus rencontrés sont donc Aquilaria et Gyrinops.

Dans chaque genre, plusieurs espèces peuvent produire de l’agarwood.

Répartition géographique :

Les Aquilarias et Gyrinops se trouvent dans une zone étendue, un losange approximatif délimité par les pays suivants : Inde, HongKong, Nouvelle Guinée et Singapour.

Pays concernés :
Inde (Khasia), Bhoutan, Bangladesh, Myanmar (Anciennement Birmanie), Chine, Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Philippines, Malaisie Péninsulaire (ou occidentale) et Bornéo Nord (ou Malaisie orientale), Brunéi (Sultanat du nord de Bornéo), Singapour, Indonésie (Sumatra, îles Riau et Lingga, îles Bangka et Belitung, îles de la Sonde, Bornéo, Moluques, Célèbes, Nouvelle-Guinée occidentale), Nouvelle-Guinée.

L’Indonésie est le plus gros exportateur, suivit par le Vietnam, le Cambodge et le Laos, qui sont des pays exportateurs importants. L’inde est avant tout un pays utilisateur, produit une part mais s’approvisionne surtout au Bangladesh et au Myanmar (anciennement Birmanie) La Chine est avant tout un importateur. Singapour est considéré comme centre du commerce international de l’Agarwood, un transit majeur s’y opère. Je n’ai pas trouvé d’information certaine concernant les espèces du Laos, mais Aquilaria Crassna est cité, ce qui ne serait pas illogique car au Laos il pousse certainement les mêmes espèces que dans les pays frontaliers qui l’entourent.

Un grand nombre d’espèces sont types de pays ou région, mais quelques-unes une sont réparties dans plusieurs pays ou régions, parfois très éloignés.

Un bon nombre de noms botaniques sont synonymes. Des noms différents ont été donnés autrefois aux mêmes espèces dans des régions ou pays différents. Cela vient sans doute du fait qu’à l’époque, les botanistes étudiant la flore locale donnaient des noms sans comparer ou sans possibilité de comparaison avec les espèces d’autres pays ou régions. Aujourd’hui des rapprochements ont été fait par des experts, mais pour quelques noms considérés synonymes seuls des tests ADN pourraient confirmer définitivement.

Espèces principales :

Après avoir fait de fastidieuses recherches, je pense pouvoir indiquer les espèces principales et leur éventuels synonymes :

  • Aquilaria beccariana = Aquilaria cumingiana = Aquilaria grandiflora = Aquilaria audate = Aquilaria tomentosa = Gyrinopsis brachyantha = Aquilaria brachyantha
  • Aquilaria secundana = Aquilaria malaccensis = Aquilaria Agallocha
  • Aqularia crassna
  • Gyrinops versteegii = Aquilaria versteegii = Gyrinops audate
  • Aquilaria hirta
  • Aquilaria microcarpa
  • Aquilaria filaria
  • Dans la zone «Indonésie, Malaisie, Bornéo, Nouvelle Guinée» on trouve l’ensemble de ces espèces.
  • Dans la zone «Bangladesh, Myanmar, Inde» on trouve surtout Aquilaria secundana, nommé Aquilaria Agallocha pour cette zone.
  • Dans la Zone «Vietnam, Cambodge, Laos» on trouve surtout Aquilaria Crassna. Cette espèce est réputée comme étant la meilleure, la plus précieuse.

DESCRIPTION DE LA SUSTANCE TIRÉE DES AQUILARIAS ET GYRINOPS :

Les Aquilarias, les Gyrinops et les autres genres concernés, dans des conditions normales ne produisent pas cette substance odorante si recherchée.

Mais certains de ces arbres sont parfois victimes d’une infestation fongique à l’intérieur, une moisissure, par un champignon nommé Phialophora parasitica (synonyme : Phaeoacremonium parasitica (ancien nom))

zone infestée

La zone sombre visible sur la photo est la zone infestée par le champignon.

Tout n’est pas clair concernant cette infestation, il se pourrait que d’autres champignons interviennent, mais Phialophora parasitica semble à l’origine des meilleures qualités de cette substance.

En réaction à cette infestation, les arbres produisent une oléo-résine et elle est odorante, c’est cette substance qui intéresse la parfumerie en particulier. Le processus est lent, les arbres d’au moins 50 ans en contiennent une quantité significative.

Il est dit que cette oléo-résine est probablement produite suite à diverses agressions : Physiques comme une blessure ou le feu (vent, cueilleurs de drogue faisant des encoches dans le bois, orage, foudre), biologiques comme des attaques d’insectes xylophages, de bactéries ou bien par les champignons déjà cités.

Les noms donnés à cette substance sont nombreux, dépendant des pays. Il n’est pas fait de différence entre le bois imbibé de résine et la résine elle-même, seule.

Parmi 35 noms que j’ai pu lister, les plus souvent rencontrés sont Agarwood et Oudh. La traduction française «Bois d’agar» est finalement peu utilisée. Je pense qu’il est préférable de conserver le nom «Agarwood» rencontré partout, semblant utilisé au niveau international.

Pour l’extrait, il est préférable de spécifier le type d’extraction et donc le type d’extrait obtenu. Donc en général, «Agarwood HE», mais on peut pour en parler de manière générale dire simplement «Agarwood» pour simplifier.

Attention aux confusions pour certains noms :
Bois d’agar (France), Agar (Birmanie, Assam, en Hindi) Attention, ne pas confondre avec l’Agar agar (substance issue d’une algue, qui produit une gélatine) !
Bois d’aloès, Bois d’aloé (France pour Aquilaria agallocha ou Aquilaria malaccensis) Attention, ne pas confondre avec l’Aloès : Aloe vera !
Oudh (Arabes) Attention, ne pas confondre avec l’orthographe «Oud» qui désigne un instrument de musique.
Jin-koh (Japon) Attention, ne pas confondre avec le Ginkgo biloba

UTILISATION

Le bois sain et non odorant des arbres produisant l’Agarwood a été utilisé pour fabriquer «Le papier Assam» (donc dans cette région d’Inde) et ses fibres en corderie. Ces bois sont de couleur claire.

agarwood bois sain

Bois sain de variété Aquilaria

L’Agarwood est commercialisé sous forme de copeaux de bois, de poudre, d’huile essentielle et il semblerait maintenant d’extrait CO2. Il est employé depuis des milliers d’années. Il est utilisé pour les bâtons d’encens et pour l’encens en général, notamment pour les cérémonies religieuses islamistes, bouddhistes, confucianistes, hindoues. Il a servi aussi aux embaumements. Il entre dans la composition de certains parfums, notamment masculins chyprés, pour ses accents cuir/animal. Il permet de parfumer des savons, shampoings, bains musulmans et papiers parfumés. Il a des applications en médecine traditionnelle asiatique, préparations pour la peau, cosmétique, produits contre les insectes. Il est un ingrédient des vins «Chu Ching-yeh» et «Vo Ka Py» produits à Taiwan.

Pov’ zarbres !!!

Seulement 10% environ des Aquilarias et Gyrinops adultes sont infestés et produisent de l’Agarwod, et en quantités variables. Rares sont les arbres contenant de l’Agarwood en quantité suffisante pour être abattus. Par une observation externe, rares sont les personnes capables d’indiquer si l’arbre contient de l’Agarwood. Ainsi les arbres sont abattus sans distinction ni d’infestation, ni d’âge et de pourcentage d’infestation, ce qui provoque la raréfaction des arbres pouvant produire de l’Agarwood dans le futur, et conduit parfois à l’extinction des espèces en certains endroits. L’extinction est aussi due au fait que ces coupes empêchent la reproduction.

Comme il a été expliqué auparavant, il est très difficile de différencier les espèces, ainsi beaucoup d’arbres sont abattus par erreur. De plus la nomenclature des espèces commercialisées est peu claire, d’où une grande confusion.

Ces arbres ont divers débouchés, dont certains forts rémunérateurs, ce qui conduit à une surexploitation, qui s’est encore accrue récemment. Depuis les années 2000, ces arbres sont considérés comme menacés de disparition sur l’essentiel de leur aire de répartition.

Mais d’autres causes, non liées aux qualités de ces arbres, participent à leur disparition :

  • L’exploitation forestière : Les coupes d’autres espèces d’arbres obligent à couper les Aquilarias et Gyrinops se trouvant dans la zone d’abattage.
  • La sylviculture : Une déforestation est effectuée afin de planter une seule autre espèce d’arbre en sylviculture.
  • L’agriculture : Comme pour la sylviculture, la déforestation à pour but de libérer des parcelles de forêt, remplacées par de l’agriculture
  • Incendies de forêts, naturels, accidentels ou volontaires.
  • Orpaillage illégal, c’est à dire recherche d’or et bouleversement des sols, avec abattages des arbres.
  • D’autre part, bien que ces arbres soient protégés dans des réserves naturelles pour sauvegarder les espèces, les coupeurs pénètrent ces réserves et abattent les arbres protégés. La raison est surtout le fait que les zones sauvages ont été ratissées, et hors réserves naturelles les arbres sont devenus très rares. L’appât du gain conduit les coupeurs à ces comportements.
  • Enfin, malgré les réglementations et restrictions concernant les coupes et les tonnages, qui visent à la sauvegarde, un important commerce illégal existe.

Leur habitat est donc en recul, notamment à Sumatra et Bornéo. Ils sont considérés comme éteints dans de nombreuses régions et comme menacés ou quasi-éteints dans plusieurs pays ; notamment au Sarawak et au Sabah où les arbres disparaissent rapidement. Ces espèces ont disparu ou presque dans plusieurs régions d’Indonésie, de Thaïlande et du Myanmar.

Malgré l’augmentation de la demande, les exportations diminuent, tout simplement parce qu’il n’y a plus assez d’arbres. Des quotas d’exportation ont été mis en place, mais les contrôles sont difficiles et de nombreux pays sont réputés touchés par la corruption, notamment en matière de produits forestiers.

Ces arbres ont donc un avenir sombre, et au-delà de la parfumerie il faut considérer que c’est une perte botanique. Par ailleurs l’Agarwood, qui est déjà une des matières de parfumerie les plus chères, ne fera qu’augmenter et deviendra extrêmement rare.

CULTURE DES AQUILARIAS ET GYRINOPS :

Des essais de culture de diverses espèces sont testés depuis plusieurs années dans divers pays. Les graines poussent facilement mais l’infestation artificielle par inoculation de divers champignons, afin d’obtenir de l’Agarwood, n’a donné que de médiocres résultats.

On perce des trous à la perceuse dans les tronc d’arbres pour y introduire les champignons et on bouche avec des tiges de bois, permettant de laisser passer de l’air. Il faut plusieurs années pour obtenir les sécrétions d’agarwood.

Un planteur signale que la présence de larves d’un insecte phytophage dans le tronc de l’Aquilaria crassna aboutit à une pus grande qualité de l’Agarwood ?

Il semble donc que pour l’instant les résultats ne soient pas assez significatifs et ne permettent pas de produire suffisamment d’Agarwood, encore moins d’arrêter l’abattage des arbres sauvages. Il faut espérer que l’obtention de l’Agarwood par culture devienne possible, avec aussi une production suffisante.

EXTRACTION DE L’AGARWOOD :

L’arbre est débité en tronçons, morceaux, puis on sépare le bois infecté du bois sain. Le bois imprégné d’Agarwood est broyé et distillé.

agarwood

Bois imprégné

L’HE recueillie peut avoir des concentrations et qualités très diverses. Les concentrations dépendent de la densité d’infection mais aussi du pourcentage de bois sain se trouvant encore présent après le tri puisqu’il est difficile et aléatoire. Les qualités sont liées à l’espèce ou aux mélanges d’espèces distillées, ainsi qu’au terrain, au climat, aux conditions de végétation et enfin au savoir-faire concernant la maîtrise de la distillation.

Il faut savoir que cette matière atteint des prix très élevés, et une fois convertis en monnaies locales des pays asiatiques, ces prix sont délirants. Les coupeurs et distillateurs locaux sont donc fortement enclins à les adultérer avec des matières à bas prix, pour augmenter leurs revenus de manière très substantielle. Les divers intermédiaires ont tendance à faire de même pour la même raison. On a donc au final une HE bien moindre en concentration et qualité que celle d’origine.

L’adultération la plus simple et sans doute la plus commune est la dilution. En effet les qualités et concentrations étant naturellement diverses, il est difficile de savoir si une HE a été diluée car il n’y a pas de concentration type. Les constituants et leurs proportions n’étant pas non plus standardisés, il est facile d’adultérer avec des matières de synthèse (par exemple identiques à certaines molécules se trouvant dans l’extrait naturel) ou avec des extraits naturels d’autres plantes, particulièrement d’autres arbres.

On estime que 90% des Agarwood HE commercialisées sont adultérées.

DESCRIPTION DE L’ODEUR :

Je reprendrai quelques citations, mais au conditionnel, car je ne voudrais créditer des propos qui n’auraient pas été réellement tenus. Je pense que les infos sont justes, mais il faudrait vérifier.

En parlant de oud, Alberto Morillas dit : «Tout le monde le cherche mais personne ne le connaît réellement. Chacun a le sien, ses propres fournisseurs, ses recettes mystérieuses… Tout le monde a déjà senti le oud, mais personne ne sait vraiment distinguer le vrai du faux».

En évoquant la recherche de oud dans les pays concernés, on parle de «quête du Graal», il est extrêmement difficile de s’en procurer et d’avoir des précisions sur la qualité, car les méthodes d’obtention sont tenues secrètes. Comme on procède à des macérations et même à des mélanges, les résultats sont très divers, aucun oud ne ressemble à un autre.

Alberto Morillas précise : «La production de cette matière naturelle reste un hasard de la nature. Les parfumeurs courent après le oud, mais je crois qu’il est bon d’avoir des rêves qui ne se réalisent jamais.»

L’agarwood est décrit par ce type de comparaisons : Assez éloigné du bagage olfactif de la culture occidentale, la première fois que quelqu’un sent le oud, il a peu de chance de l’apprécier. Très puissant, animal, fécal, cuir, sexuel, musc, castoréum, boisé, santal, vétiver, balsamique, labdanum, décomposition, champignon, patchouli…

EN PARFUMERIE :

Dans sa version la plus pure, les parfumeurs Alberto Morillas et Serge Lutens s’accordent pour dire que l’agarwood n’est jamais utilisée par l’industrie, car presque introuvable.

La durée de l’Agarwood est extrêmement longue. Il peut être utilisé dans des parfums masculins, apportant des effets particuliers, et spécialement aussi dans des Chypres masculins.

 Sources :

  • Les nombreuses recherches du Fou-du-roi…
  • Les photos viennent de Wikipedia

Aller plus loin : 

A propos Carole

Blogueuse Olfaction(s)
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Un commentaire pour Agarwood

  1. Sandra dit :

    J’ai découvert le Oud avec Versace Oud Noir que j’ai trouvé sublime sur peau. La version féminine plus récente est un peu trop fleurie à mon goût mais je ne fais pas partie de la cible concernée 🙂
    En Cartier, Oud & Oud est aussi assez dense et équilibré mais sa tenue est décevante.
    Fendi a créé son Assoluto pour homme qui renforce la sensualité de Fan Di Fendi de façon assez jolie.
    J’ai hérité d’un Armani Privé avec cette note qui m’étouffe littéralement malheureusement car notes trop sèches…

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